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Notre séjour à La Réunion

7 janvier 2006

Le pénible retour

Jour du retour…

Un peu mouvementé. Nous voulions rendre la voiture mais pas moyen de savoir facilement où nous pouvions le faire (à noter pour la prochaine fois : prendre un loueur qui a pignon sur rue, certes plus cher, mais plus fiable). Après avoir finalement déposé la voiture chez un collègue du collègue du propriétaire, nous avons décidé de faire du stop sous la pluie pour nous rendre à Saint Denis, 30km plus loin. Quand je dis « nous » c’est surtout Jocelyn car Pierre et Virginie étaient près à nous ramener à l’aéroport, même leurs amis rencontrés lors de la st sylvestre l’avaient proposé (les gens ont le cœur sur la main par ici). Cependant Jocelyn argumentait : on aura assez de services à leur demander quand nous viendrons nous installer ici !  Heureusement, il y avait un arrêt de « Ti car jaune » pas loin et un bus est passé rapidement… on attendrait encore avec mes talents de racoleuse !

Dans le car les gens frappaient dans les mains pour indiquer l’arrêt où ils voulaient descendre. Nous allions jusqu’au terminus donc on n’a pas pu tester !

Arrivés à l’aéroport, on a appris que l’avion aurait encore du retard ! Mais on nous a fourni une chambre d’hôtel « Best Western » pour la journée à Saint Denis et les repas gastronomiques étaient offerts. C’étaient un premier de l’an finalement haut de gamme !

Finalement, nous avons pu revisiter Saint Denis et notamment le Jardin d’Etat que nous n’avions pas eu le courage de parcourir la première fois que nous y sommes allés. Mais il y a beaucoup de choses que nous n’avons pas fait à La Réunion (non ce n’est pas une excuse pour y retourner…). Dons il nous faudra entre autre faire le tour du Piton de La Fournaise à pied, voir le Piton de neiges, prendre la route vers le cirque de Cilaos avec ses 400 virages etc…

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7 janvier 2006

Dernier jour de l'année 2005

Comme prévu nous sommes retournés au marché de Saint Paul pour acheter des fruits à gogo. Puis, comme je voulais revoir les poissons exotiques, on est allé de nouveau à la plage de l’Hermitage. La mer était agitée comme le ciel annonciateur de pluie mais j’ai quand même vu mes poissons. L’après-midi, nous nous sommes reposés à l’hôtel après avoir profité de la piscine car le lendemain nous repartions et la nuit de la Saint Sylvestre allait être courte.

Avant de nous rendre chez Pierre et Virginie, nous avons appris que notre vol était reporté de 10 heures….ce qui nous embêtait car la location de la voiture (indispensable sur l’île car rares doivent être les excursions organisées. Pour tout dire j’en n’ai pas vu…comme dit Jocelyn « On est en France quand même ». Oui mais à Strasbourg, il y a bien des cars de touristes, non ? A moins que…) se terminait le lendemain à 8 heures.

Le repas chez nos amis s’est bien passé…sauf qu’il ne faisait que 25° et que j’avais un peu froid…lol…. Aux douze coups de minuit, il y a eu des pétards d’allumés un peu partout (Tiens comme en Alsace. Décidément, ces créoles… !) et quelques feux d’artifices organisés par les villes des alentours (Un peu moins que d’habitude, il paraît. Il faut dire que pour la première fois depuis le début de la semaine, il pleuvait comme vaches qui pissent…on y est quand même allés pendant la saison des pluies !)

7 janvier 2006

Une journée forte en émotion

Sur les conseils de Virginie, nous sommes allés au marché de Saint Paul. Il paraît que c’est un marché charmant. C’est vrai qu’il est situé en front de mer. Mais ce que nous avons surtout remarqué ce sont les prix des fruits. Affolants !!! On a décidé d’y retourner le lendemain pour acheter des fruits à emporter en métropole.

Pour ce 6ème jour, nous avons décidé de faire surtout des musées….histoire de ne pas trop prendre le soleil… Nous avons d’abord visité le Musée « Le Stella » établi dans une ancienne usine de canne à sucre. Nous y avons appris l’histoire de l’île qui était aussi appelée à une époque ;  « l’île Bourbon » notamment. L’histoire de l’esclavagisme et de l’engagisme (Sorte de travaux forcés post abolition de l’esclavage) nous a aussi été révélée. On a compris pourquoi l’île ressemblait à une tour de Babel. On a découvert le problème de la circulation que connaît La Réunion. En effet, il y a 1 voiture pour 3 habitants ( De quoi faire trois fois le tour de l’île qui fait 1/3 de la Corse), des bouchons monumentaux vers Saint Denis (Vu que nous y sommes allés pendant les vacances, on est passé à travers) et un tram-train en cours de construction comme à Saarbrucken (pas loin de l’Alsace) pour désengorger tout ça.

L’après-midi, après avoir traversé la plaine des Cafres (NB : sur l’île, les Cafres, sont les créoles noirs de peau) et surtout des villages appelés le « deuxième », le « treizième », le « vingt-septième »…, nous avons visité le musée du Volcan près du Piton de La Fournaise que nous n’avons pas pu fouler pour cause d’éruption. Dans le musée à la gloire des volcanologues français (et surtout alsaciens) Maurice et Katia Krafft (A noter que petite, je voulais faire comme eux et je faisais des exposés sur les volcans à la pelle), j’ai redécouvert la vulcanologie...Le seul problème c’est qu’à l’heure d’internet, le musée risque vite d’être dépassé… pas assez d’interactivité.

Après le musée du Volcan, nous nous sommes dirigés vers la ville « La Plaine des Palmistes » pour diner. Dans cette ville, la mairie, qui ressemble, selon Jocelyn, à un chalet savoyard, a couté 1,5 millions d’euros. C’est étonnant vu que l’habitat créole n’est pas forcément une priorité (pour cause de cyclone et de beau temps toute l’année). Finalement nous n’avons pas trouvé de quoi se faire un bon petit diner. Nous sommes alors allez vers Saint Benoit sur la côté Est. Mais là, stupeur, pas de resto d’ouvert alors qu’il n’était que 18 heures. Nous avons finalement acheté des feuilletés et une salade Achard dans un supermarché où Jocelyn a appris de la bouche de la caissière (qui lui faisait les yeux doux pendant que j’avais le dos tourné) que les restos ferment à 17 h 30. Et oui, on se lève tôt donc on se couche tôt dans cette région ! Par contre, côté diner, le sort s’acharnait sur nous. La salade que j’avais imposée à Jocelyn était « surpiquante » et en mangeant j’ai eu un de ces coups de chaud !

Pour finir la journée, nous sommes allés voir le volcan en éruption de nuit. J’ai été plus impressionnée par un lampadaire que j’avais pris pour de la lave en ébullition sur la route (J’étais tellement impatiente de voir le volcan, que j’en avais des hallucinations…. j’ai quand même fait piler Jocelyn en lui criant « STOP ». A ma décharge, il faut dire qu’ en face des voitures revenaient de la route du volcan en klaxonnant et avec les warning allumés!) que par le volcan lui-même dont les coulées n’étaient finalement qu’à 2 km de la route. Mais bon ça valait le coup.

7 janvier 2006

Le cirque de Salazie

Ce jour là nous nous sommes rendus dans le cirque de Salazie, accessible lui par route ! Sur la route de nombreuses cascades à flanc de montagne dont la cascade « Le voile de la mariée ». Il y avait même un « pisse en l’air »… ne me demandez pas ce que c’est. Mais en gros en plein milieu de la route toujours à flanc de montagne, on a été arrosé comme s’il pleuvait.

Notre destination était Hell Bourg, plus beau village de France, le seul dans les DOM. Ce petit village accueillait à une époque des maisons « de changement d’air » (résidences secondaires) pour les personnes qui étaient notamment atteintes de paludisme. Il a été créé par un alsacien, Monsieur Hell, gouverneur de son état (C’est aussi lui qui a donné le nom d’Hell Ville au village mauricien).

A Hell Bourg, nous avons visité la Maison Folio, ouverte au public toute l’année par son propriétaire descendant de planteurs. La guide nous a fait visiter d’abord le jardin de cette demeure. 

Dans le jardin, on a pu voir un Guétali (= Kiosque), lieu incontournable des ladilafé lapadilapafé (= en français des « ragots »). Nous avons aussi fait le tour des plantes de la région : le vétiver (Utilisé contre les mites dans les armoires), la citronelle (ce truc c’est un arbuste !), le passiflore (plante hallucinogène), les orchidées, les « mauves et blancs » qui sont des fleurs blanches le premier jour de floraison puis violettes les suivants (attention au jeu de mots qui s’y cache !). On a aussi découvert que les fruits de la passion poussent sur des lianes qui s’enroulent autour d’arbres.

La guide nous a également fait découvrir les bois locaux comme le camphre connu pour être un bois aux effets contraires à ceux du Viagra™ et nommé bien sûr par les créoles qui adorent les jeux de mots : « le bois de contre-bande » , le  viamaigre, le bois de couleur …

L’après midi nous sommes allés visiter la maison de la Vanille dans une plantation de Saint André. Enfin nous avons compris comment on obtenait cette délicieuse épice (Si un jour vous avez l’occasion de voir un reportage, ne zappez pas) et du coup on comprend aussi le prix (1 caisse de vanille vaut une voiture neuve). Par contre, il aurait été mieux de s’y rendre le matin période de la journée où les « Marieuses » peuvent polliniser les fleurs de vanille. On a aussi appris que le plus grand consommateur de vanille naturelle est les USA pour…réaliser leur fameux Coca Cola dont la recette ne doit pas être retouchée…ne serait ce qu’avec de la vanilline…ah ces américains !

A noter aussi que l’exploitation que nous avons visité risque de fermer dans les prochains mois à cause de la concurrence acharnée et bon marché de Mada (= Madagascar). Alors si vous en achetez, pensez à notre production française… vous vous y retrouverez côté qualité !

7 janvier 2006

La Réunion, côté plage

Nous sommes allés avec les amis qu’on avait rencontré la veille (Pierre et Virgine) qui ont pris sur eux ( ;-) ) de nous faire découvrir une plage sympa ainsi qu’un lieu de plongée facile pour nous néophytes, il s’agissait de la plage de L’Hermitage près de Saint Gilles les Bains. Une plage avec un lagon (comme sur les photos de cartes postales) où la mer regorge de poisson tropicaux (poissons coffres…) nageant entre les coraux que nous avons découvert munis d’un masque et d’un tuba. Le seul hic c’est que l’eau n’est pas très haute (1, 50m) et qu’on a vite fait de s’érafler sur un corail (N’est ce pas Jocelyn ?). Mais à l’horizon, on avait aussi un beau spectacle… des vagues mourrant sur une barrière de corail.

Sinon il s’agit aussi de la plus belle plage de La Réunion, pas forcément connue pour ses plages. En effet, dans la mer d’ordinaire, il y a pas mal d’oursins, quelques poissons pierre et des requins au large (pour les rencontrer, il faut être un peu surfeur et exercer son hobby à la sortie d’une canalisation régurgitant des abas d’une société d’écarrisage… donc autant dire que ça ne nous est pas arrivé).

L’après midi, une pause s’est imposée… On a juste eu le courage de nous rendre à La Maison Villèle, une maison de planteur… mais malheureusement nous sommes arrivés trop tard pour la visite guidée…

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7 janvier 2006

Le cirque de Mafate

Nous nous sommes levés à 6 heures (A la réunionnaise donc car ici les gens se lèvent et se couchent avec le soleil…très tôt en somme..pas de grasses mat possibles donc…d’ailleurs le coq du coin vous le rapellera !) pour voir à partir du Maido le cirque de Mafate au levée du soleil (après les nuages sont trop nombreux à cette hauteur de 2000m). Après près d’une heure de route avec une centaine de virages, nous sommes arrivés au Maido où pour la première fois depuis notre départ de métropole nous avons enfilé un gilet (bon il ne devait faire que 23° mais nous avions froid…nos corps s’étaient déjà habitués à la chaleur…).

La vue sur le cirque de Mafate est magnifique. Le cirque de Mafate est le résultat d’un volcan qui s’est affaisé il y a très longtemps. Ce cirque est uniquement accessible en hélico ou à pied. Et oui, pas de routes ! Le projet d’en construire a été aussi souvent abandonné que proposé.

Ce cirque a une histoire particulière. C’est là que se sont réfugiés les « Marrons » (Esclaves noirs) pour échapper à leurs Maîtres….mais c’est aussi là qu’ils ont été traqués (Pour avoir leur prime, les « chasseurs » devaient rapporter l’oreille ou la main gauche du capturé car c’était à cet endroit qu’ils étaient marqués… et oui pas très glorieux tout ça).

Dans ce cirque, les réunionnais cultivent le géranium (Pour en faire des liqueurs nott), des lentilles…

Comme nous pensions être téméraires et de vrais athlètes…mdr…, nous avions décidé de descendre dans le premier village du cirque : Roche Plate. Alors que 2h30 sont nécessaires pour descendre 7,5 km, nous avons pris 3 heures et 30 minutes pour presque atteindre notre objectif. Pourquoi « presque » ? Parce qu’avant le village nous avons pris la décision de ne pas y aller…cela allait rajouter une heure de marche sous la chaleur et surtout il fallait remonter. La remontée s’est faite en quatre heures pour 7, 5 km ! A notre décharge il y avait un denivelé de 650 mètres et depuis le matin j’avais une gastro L !!! Nous avons aussi eu des crampes qui se sont vite résorbées une fois la voiture en vue… Je pense que c’est la chose la plus pénible physiquement que j’ai eu à faire. Mais j’ai appris à repousser mes limites…pour la première fois, je me suis couchée dans l’herbe sans appréhension (C’est vrai  qu’à La Réunion, il n’y a pas de bestioles méchantes sauf les moustiques), j’ai marché au bord d’une falaise…Bon il faut quand même dire que maintenant encore j’ai l’impression que tout le long de la remontée, je me suis traînée par terre.

Le soir nous avons mangé chez des amis d’un collègue très sympathiques…Selon eux nous avions l’air en pleine forme (je pense que nous étions encore sous adréaline)

Ils nous ont servi du cari Ti’Jacques (Le premier des caris de la semaine. A noter que le Jacquier est un légume)…délicieux… sauf que ma gastro m’a rattrappée et j’ai passé la nuit aux toilettes en me promettant que la prochaine fois, il y aurait dans ma trousse de secours de l’extra levure à portée de main. 

7 janvier 2006

Découverte du Sud Est

Ce jour-là, nous sommes descendus vers le sud-est de l’île et avons longé la rivière Langevin pour nous arrêter à la cascade du Trou Noir très rafraichissante voire trop…on n’a pas osé se baigner même par 35°.

A midi on a notamment mangé des fruits savoureux achetés à une vendeuse ambulante sur le bord de la route. Autant vous dire que les prix étaient aussi alléchants : 5 ananas (On parle de tas d’ananas, là-bas) Victoria pour 2 euros, des fruits de la passion à 1 euro le kilo, des letchis (Oui, ça ne s’écrit pas comme en métropole) à 1 euro le kilo.

Le seul hic pour acheter des fruits au bord de la route, c’est qu’il faut avoir de bons yeux car les prix ne sont pas affichés en gros caractère…mais il faut dire là encore qu’il semble y avoir une entente sur les prix entre les commerçants.

Après un déjeuner frugal, nous avons pris la route vers les coulées de laves. C’était impressionant ! On a même marché sur une coulée « lontan » (Juste après l’enclos vers le quai de l’Eglise. NB : « lontan » signifie ancienne en créole ) où la nature avait repris le dessus pour arriver sur un panorama de rêve avec des vagues qui se brissaient sur les soufflants (des rochers qui envoient les vagues en l’air).

Sur le chemin du retour on a fait une pause à Grand’Anse où il y a une plage avec des cocotiers mais où il n’est que possible de se baigner dans un bassin avec 50 cm d’eau. Nous nous sommes aussi arrêtés à Saint Philippe au bord d’une falaise entre quelques cannes à sucres. C’était charmant, il y avait des discussions en créole que nous ne comprenions pas…ah la la ces z’oreilles (c’est comme ça qu’on appelle les métro en raison du fait qu’il paraît qu’on tend l’oreille quand on ne comprend pas les locaux)

7 janvier 2006

Arrivée méritée

Nous sommes arrivés à l’aéroport Roland Garros à 10 H 00 après 10 000 km et 11 heures de trajet. Notre avion avait pris du retard (rien de comparable avec ce qui nous attendrait pour le voyage retour) au départ, mais finalement l’attente pour embarquer a été plus longue que le voyage en avion. Le voyage a été mouvementé et bruyant mais nous avons pu dormir quelques heures si bien qu’en arrivant on était fatigués mais pas au point de vouloir faire un break. Une fois arrivés à l’aéroport, nous avons pris une heure pour réceptionner notre voiture de location. Ensuite, direction Saint Gilles. Problème : nous n’avions presque plus d’essence dans la voiture ! Le voyant orange qui clignotait me stressait. Je vois une station service : Jocelyn arrête toi ! Malgré mon cri il la snobe royalement en invoquant le fait que les prix n’étaient pas affichés et qu’on allait nous faire payer à la tête du client. Plus loin sur l’autoroute (trop loin à mon goût, je craignais la panne) une autre station. Arrêtons-nous là ! Argh toujours pas de prix affichés ! Je menace de faire du stop pour rentrer à l’hôtel si l’on tombe en panne. Il me rie au nez. Les stations se suivent et se ressemblent… Nous apprendrons plus tard que le tarif est fixé pour toute l’île (c’est pourquoi les prix ne sont pas affichés). Heureusement qu’il y avait une belle pompiste quelques stations plus loin sinon Jo serait encore en train de pousser la twingo sur l’autoroute…

Une fois à l’hôtel, on s’est vêtu en conséquence de la chaleur moite mais supportable. Puis nous sommes allez voir près de Saint Paul :

- La grotte des « premiers français »…rien d’extraordinaire mais c’était un premier contact avec la nature verdoyante de l’île.

- Le cimetière marin avec des caveaux rustiques…bref un style très colonial….

Puis, nous  nous sommes un peu perdus en faisant « Le tour des roches » sur les hauteurs de Saint Paul. Plus on montait vers les Hauts plus les maisons étaient resplendissantes…on a quand même vu deux gamins faire les poubelles !!!!

En fin d’après-midi, nous sommes allés visiter Saint Denis de manière inopportune puique je voulais visiter une cascade (La cascade du Maniquet) que je n’ai pas trouvé et de fil en aiguille, nous nous sommes retrouvés dans la capitale endormie en ce dimanche après-midi. Beaucoup de maisons coloniales, de maisons en toles…rien à voir avec une ville métropolitaine…

Mais surtout Saint Denis comme toute l’île est hétéroclite et ça fait du bien de voir des gens de culture variée vivre en parfaite harmonie…

Enfin, nous sommes revenus sur Saint Gilles où on a gouté à la plage une petite demi heure…mais à l’hôtel nous attendait la piscine dont on a profité aussi le matin, l’après midi et même une fois le soleil couché.

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